Dans cette conférence qui reprend plusieurs éléments du livre Faire la morale aux robots : une introduction à l’éthique des algorithmes (2020), je m’interroge sur la meilleure manière de programmer un agent moral artificiel. Qu’est-ce qu’un bon robot? Comment devrait-il se comporter dans une situation délicate et dans quelle mesure les théories morales traditionnelles peuvent-elles se traduire en algorithmes? Je soutiendrai que c’est l’éthique de la vertu qui, combinée à cette technique d’IA qu’est l’apprentissage supervisé, semble la plus apte à donner des robots fiables, neutres sur le plan métaéthique, et dignes de confiance.

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